Sans titre pour l’instant, Françoise Élian
Le point de vue des lecteurs
La poésie pour point de départ
Sans titre pour l’instant a fait l’objet d’un pré-lancement le 1er mars 2022, ce qui a permis de recueillir les premiers retours de lecteurs avant la sortie officielle du livre.
Que se passe-t-il dès lors que la poésie dessine le cadre d’écriture ?
Quelle expérience de lecture cela provoque-t-il ?
S’il s’agit bien d’une histoire à lire, l’expérience de lecture ne se situe pas au niveau du scénario ou des possibles personnages.
On traverse Sans titre pour l’instant par le biais du rythme, de la sensation et du sentiment d’intimité avec le texte.
Les témoignages
« En finissant le livre, je ne l’ai pas posé au pied du lit pour passer à autre chose, mais je me suis surprise à le garder fermé un moment dans les mains, en le tenant doucement. »
— C.M.
« Ce n’est pas moi physiquement qui lit ce recueil, ce sont mes énergies, mes émotions. Je me trouve dans votre aura à chaque passage. Quel cadeau de m’autoriser à cheminer avec vous sur ce sentier initiatique ! »
— M.M.
« Votre livre m’a apaisée, comme si on me promenait dans le réel, en l’apprivoisant pour moi, en me disant “là, tu vois, ça fait mal, mais pas tant que ça, si on y regarde autrement c'est beau”. »
— F.I.
« L’alternance et la diversité des textes donnent un excellent rythme ! Ma passion pour le théâtre me fait préférer le chapitre théâtralisé sur Arthur Rimbaud. »
— J.P.
« J’avais le cœur qui battait. »
— H.S.
« Comment résumer ce livre ? Un voyage initiatique, la relation à l’autre, à soi, la puissance de l’amour et du désir. »
— B.M.
« J'ai lu le livre d'une traite. Une fois posé sur mon étagère, j'ai eu envie de le lire à nouveau, mais par petits bouts, reprendre les chapitres qui m'avaient plu. »
— M.A.
« J'ai aimé que certains chapitres soient courts, ne comportent juste qu'une phrase. Cela me permettait de mieux savourer le livre, avec lenteur, alors que j'avais envie de le dévorer. »
— M.M.
« Je sens une liberté d'écriture très présente, cela me parle beaucoup. On dirait une conversation. »