Poésie et littératures sans frontières
Nous sommes une maison d’édition indépendante fondée en 2021 par Françoise Élian.
Notre axe de recherche principal : transcender les formats et proposer des ouvrages qui donnent à voir une exploration instinctive de la langue.
Nos trois collections
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TRANS ⎜Le voyage en langue natale
TRANS, comme une invitation à voyager en langue natale, dûment accompagné(e).
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Griffe
Griffe est notre collection dédiée aux premiers gestes d’écriture. Textes de primo-auteurs ou exploration de nouveaux territoires de plume.
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Tapage
Notre collection Tapage publie des artistes pluridisciplinaires, explorant la poésie à travers plusieurs media.
Événements à venir
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Arawak de Paloma Kuns
Lecture-rencontre animée par Loraine Bazalgette
Jeudi 11 avril, 19h30
Librarie EXC, Paris 4e
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Salon L'Autre Livre
Tango Girafe participera au Salon L’Autre Livre
Les 12, 13 et 14 avril
Palais de la Femme, Paris 11e
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Lettre à Xenos
Lecture-rencontre animée par Rodolphe Perez
Mardi 23 avril, 19h30
L’Ours et la Vieille Grille, Paris 5e
Nos auteurs à l’honneur
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La Lettre à Xenos de Catherine Peillon vue par Rodolphe Perez, Les Imposteurs
« Si on ne lit pas la Lettre à Xenos de Catherine Peillon pour son épanchement goethien à la déploration si romantique, on y reconnaîtra cette puissance si évocatrice du mot « relation. » Après tout, qu’est-ce qu’une relation ? Ce lien qui me tient attaché à l’autre, qui m’appelle à lui. Mais ce n’est pas seulement ce monologue, c’est aussi et surtout cet espace qui s’institue entre nous à la faveur de ce lien, ce lieu à nous, itinérant, toujours étranger au monde et pourtant là, cette temporalité qui, parfois même dans l’absence, nous demeure une terre hospitalière. »
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La Lettre à Xenos de Catherine Peillon vue par BJVA
« Xenos, c’est, en grec, l’étranger, l’hôte, préfixe à partir duquel s’est forgé notre terme xénophobe. Chaque lettre-poème du livre de Catherine Peillon lui est adressée et commence par ce prénom, si c’en est un. S’agit-il bien d’un homme, ou de la figure multiple de l’étranger, du migrant ; ou d’un autre soi-même ? »
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Sans-manteau de Paola Soto vu par Loraine Bazalgette
« Sans-manteau, c’est l’écriture d’un amour qui s’éteint, enfin non, d’un amour incandescent privé d’oxygène. L’oxygène c’est l’autre, l’autre a pris son pardessus et a disparu au coin de la rue. Il n’est plus là mais il s’inscrit partout.
Dans un style à la fois fluide et rythmé, percussif et obsédant, Paola Soto écrit l’amour qui reste à quai. Poétesse vénézuélienne magnifiquement traduite par @francoise.elian, on entend parfois la voix de Marguerite Yourcenar résonner. »