En librairie le 23 avril

Deux nouveautés de la collection TRANS

Poésie et littératures sans frontières

Maison d’édition de poésie et de littératures créatives fondée en 2021 par Françoise Élian, notre ligne éditoriale se déploie à travers les expériences de traduction, les explorations du féminin et la mise en lumière des langues rares et des cultures sous-jacentes.

Nos trois collections

  • TRANS ⎜Le voyage en langue natale

    Cette collection propose des recueils bilingues. L’intention principale : donner à voir la traduction comme champ d’expérimentation et d’expression artistique. Re-traductions d’auteurs classiques et nouveaux procédés linguistiques forment le socle de cette collection.

  • Griffe

    Griffe est notre collection de poésie contemporaine dédiée à l'exploration du féminin.

    Pluridisciplinarités et traversées singulières de l’intime : des textes à l’écoute, accessibles à tous, levant avec sensibilité et acuité tabous hérités, non-dits et fragments oubliés.

  • Tapage

    Tapage est notre collection grand format, mettant à l’honneur les langues rares et les cultures sous-jacentes.

    Sans hiérarchie dominante, textes originaux, traductions et images sont disposés à front renversé pour faire émerger et retentir ce qui se trouve à la source.

Nos auteurs à l’honneur

  • Emily dans le métro

    Ce poème d’Emily Dickinson, traduit par Lucile Fiévet et issu de notre recueil bilingue Le Vésuve à la Maison a été sélectionné par la RATP et le Printemps des Poètes dans le cadre de la thématique 2025 La Poésie Volcanique.

  • Les Cendres d'Alfonsina Storni par le Monde Diplomatique

    « Debout, poignard à la main, la louve se tient face à l’ennemi, prête à défendre l’enfant, elle-même et ce qui viendra… C’est ainsi, en la paraphrasant, qu’on imagine l’Argentine Alfonsina Storni. (1892-1938). Mère à 20 ans, elle signe son premier recueil de poésie en 1916. « Passée par le tamis de toutes les douleurs », elle a fui le troupeau pour gagner la montagne et défend sa liberté devant les « brebis » qui jugent immorale celle qui n’a jamais donné un père à son fils. Alfonsina Storni s’inscrit d’emblée dans le mouvement d’émancipation féminine surgi en ce début de XXe siècle sur le continent... »

  • La Lettre à Xenos de Catherine Peillon vue par Rodolphe Perez, Les Imposteurs

    « Si on ne lit pas la Lettre à Xenos de Catherine Peillon pour son épanchement goethien à la déploration si romantique, on y reconnaîtra cette puissance si évocatrice du mot « relation. » Après tout, qu’est-ce qu’une relation ? Ce lien qui me tient attaché à l’autre, qui m’appelle à lui. Mais ce n’est pas seulement ce monologue, c’est aussi et surtout cet espace qui s’institue entre nous à la faveur de ce lien, ce lieu à nous, itinérant, toujours étranger au monde et pourtant là, cette temporalité qui, parfois même dans l’absence, nous demeure une terre hospitalière. »

Nos événements

Pré-lancement de Sismographies du manque de Myriam Suchet

Mardi 22 avril 18h > 20h

Librairie La Régulière, Paris, 18e